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vendredi 30 juillet 2010

Retour de stage du groupe INSTRUIRE














Je m'appelle Lucie Hortense, je reviens de mon deuxième stage à Véolia. Ca c'est bien passé. Il y avait de l'ambiance entre moi et mes collègues. J'étais au triage du plastique, des sachets et des cartons, je laissais passer les papiers, je me suis habituée avec ce travail.











Bonjour, je m'appelle Ayinini, j'ai passé mon stage avec des collègues de travail auprès de personnes âgées. C'était un peu dur pour moi, malgré ça, j'aimais bien mon travail.














Je m'appelle Joëlle, j'ai fait mon deuxième stage en crêche Bébés Bilingues. Je lavais les jouets, je chantais avec les enfants.















Je m'appelle Aurélien, ne me cherchez pas, je suis invisible... sur mon fenwick. J'ai fait plein de choses intéressantes. Il y avait une très bonne équipe et j'ai bien aimé. J'ai passé deux semaines dans l'entreprise.














Je m'appelle Atua, je suis en formation à Côté projets depuis le 26/04/2010. J'ai appris beaucoup de choses, je suis fière. J'ai fait deux stages, j'ai tout aimé, je suis prête à travailler.














Je m'appelle Coralie, j'ai fait mon stage en crêche. J'ai fait le ménage et puis je me suis occupée des enfants, je les ai fait manger, j'ai joué avec eux.














Bonjour, c'est Rabia, voila j'ai fini mon stage. Ca c'est bien passé. Je suis contente de ce travail, j'espère que je vais trouver un travail rapidement.














Salut, c'est Aïssatou, j'ai passé mon deuxième stage dans une crêche multi-accueil. J'étais contente de travailler près des enfants. J'ai appris beaucoup de choses. Mes expériences me permettent de travailler dans ce métier.

vendredi 16 juillet 2010

La formation se termine pour le groupe GOELAND

Pour moi, ma formation m'a appris beaucoup de choses et j'ai rencontré des personnes intéressantes. Avec cette formation, j'ai pu trouver un métier qui me correspond.

Fatima

J'envisage dans les mois à venir de continuer à faire mes démarches professionnelles et de continuer dans cette voie-là.

Jennifer

Je suis prête à faire un CAP de vendeuse et à découvrir le monde du travail !

Alexia

Je suis préparée à affronter le monde du travail.

Rachida

Après la formation, je pense que je vais chercher du travail comme Employée de libre service, c'est le métier que j'ai choisi et que j'ai fait dans la formation, ça m'a plu.

Assia

Rencontre avec une auxiliaire de vie





L’Expérience D’ENISA

Elle travaille comme aide auxiliaire de vie dans une maison de retraite. Elle a dix patients à sa charge. Elle s’occupe de personnes âgées : elle leur fait la toilette, elle leur donne à manger, les sort pour changer d’air. Elle fait les lits. Elle travaille deux jours puis a deux jours de repos. Elle travaille dix heures par jour. Au début elle a fait des heures supplémentaires. Elle aime bien son travail. Au début de sa formation a cote projets, elle voulait travailler avec les enfants mais après son premier stage dans le secteur de la petite enfance elle a changé son opinion. Elle a fait son deuxième stage dans une maison de retraite comme auxiliaire de vie. La première semaine, elle a trouve des difficultés avec ce métier parce qu’elle ne connaissait pas grand-chose mais après elle est devenue autonome. Maintenant, elle est plus à l’aise pour parler avec les Français, elle a beaucoup d’expérience, elle s’est bien en France.

Afef du groupe Horizon


LE MARDI 29 JUIN 2010, nous avons rencontré une ancienne stagiaire de Côté Projets. Elle s’appelle ENISA. Nous lui avons posé des questions sur son expérience et elle nous a expliqué ses démarches ou plutôt son « parcours du combattant » pour trouver du travail. Elle a commencé comme nous tous : elle est entrée dans une formation à Côté Projets pour progresses en français. Aussi, elle a eu l’occasion de faire 2 stages différents pour découvrir des métiers .Au début de la formation le projet professionnel d’Enisa était de travailler avec les enfants c’est pour ça qu’elle a effectué son premier stage dans une école. Malheureusement ce n’est pas ce qu’elle souhaitait pour cela elle a changé d’orientation et a effectué son deuxième stage comme auxiliaire de vie dans une maison de retraite. Pendant les deux semaines de stage elle a montré qu’elle était capable de faire ce métier. A la fin de son stage la direction de la maison de retraite lui a proposé un CDD. ENISA a accepté sans souci. Ce travail lui plaît bien. Quelques mois plus tard, ils lui ont proposé un CDI.

Hana du groupe Horizon

Enisa est une auxiliaire de vie,j'ai compris que son travail était difficile, elle m'a apporté beaucoup de conseils sur son métier parce qu'il y avait des choses que je ne savais pas. Elle a répondu à toutes nos questions. Elle a appris le français
et c'était un peu difficile pour elle avant d'entrer dans la vie professionnelle.

Jennifer du groupe Goéland

Enisa nous a parlé de son métier d'auxiliaire de vie. Avant, elle était stagiaire à Côté Projets. Nous lui avons posé des questions sur son métier, c'était très intéressant pour nous tous.

Linda du groupe Goéland

Enisa est une auxiliaire de vie de 27 ans qui avait suivi une formation à Côté Projets. Elle a fait plusieurs stages et effectué des démarches pour trouver un emploi mais ça n'a rien donné jusqu'au jour où elle a insisté auprès d'une résidence pour déposer sa candidature. Elle est à présent contentecar elle a trouvé un emploi qu'elle aime.

Nawal du groupe Goéland

lundi 5 juillet 2010

VIVRE EN FRANCE, MANGER EN FRANCE, NOSTALGIE...

La nourriture de mon pays, le Nigéria, est très différente de la nourriture en France.
Je trouve que la cuisine française est moins légère que la cuisine de mon pays.
Dans mon pays, il y a beaucoup de soupes différentes et beaucoup plus de sauces qu’en France.
En France, il y a l’apéritif, l’entrée, le plat principal, le fromage et le dessert. Dans mon pays, il y a juste un plat principal.
La soupe de mon pays est plus épicée que la soupe française.
En France, il y a moins de repas que dans mon pays. Dans mon pays, on mange le petit déjeuner moins tôt qu’en France mais on mange le dîner plus tôt qu’en France.
A mon avis, le dîner de mon pays est plus lourd que le dîner typiquement français.
Je trouve que les herbes et épices de mon pays sont meilleurs que ceux de la France.
On ne mange pas de fromages dans mon pays mais les Français mangent tout le temps du fromage.
En France il y a plus de vins que dans mon pays et le vin français est meilleur.

UFUOMA


La gastronomie algérienne et très différente de la gastronomie française.
La cuisine de mon pays est plus épicée que la cuisine française et plus copieuse.
Dans les plats français, il y a moins de sauce que dans les plats algériens.
La pâtisserie algérienne est plus sucrée que la pâtisserie française. Mais la pâtisserie française est meilleure.


La cuisine française est plus équilibrée que la cuisine algérienne : en Algérie, il y a au moins 4 repas par jour mais en France il n’y en a que 3.
Chez moi, je cuisine des repas traditionnels et moins de repas français.
Je trouve que les français mangent tout le temps au restaurant : en Algérie on mange moins au restaurant qu’en France.
Les plats français sont bons mais les plats algériens sont meilleurs. Enfin moi, j’aime les deux !
SARRA
Dans mon pays, les personnes mangent beaucoup plus de légumes que de viande.
Les français prennent leur déjeuner plus tard que nous. Au Cambodge, on mange à 11 h ou 11 h 30 alors que les français mangent à 12 h 30 ou 13 h 00.
Nous, on mange tout ensemble : il n’y a pas une entrée puis un plat principal. En général, on mange tout ensemble : le riz, les légumes sautés, la viande cuite et la soupe.
ROTHA


En France les gens mangent trois fois par jour, comme en Arménie, mais les français déjeunent plus tard qu’en Arménie.
Les français aiment la viande saignante alors que les arméniens aiment la viande bien cuite.
Et chose importante : on boit beaucoup plus de vin en France qu’en Arménie !
NAHAPET


Aujourd’hui, je voudrais vous parler de nos plats traditionnels en Tchétchénie.
Autrefois, mon peuple habitait dans les montagnes et c’est pour ça qu’ils mangeaient beaucoup de viande.
Et maintenant, nous suivons cette tradition. On ajoute beaucoup d’ail dans nos sauces.
Notre meilleur plat, ce sont les galettes au fromage ou avec de la courge. Et quand on commence à manger, on met tous ces plats sur la table et chacun choisit ce qu’il veut manger.
Chaque fois, on finit notre repas avec du thé, il doit être bien chaud.
On mange beaucoup de fruits aussi et ils sont meilleurs qu’ici. Les meilleurs légumes chez nous sont les pommes de terre, les aubergines, les carottes et les tomates.
Il existe une grande différence entre les habitudes tchéchènes et françaises : nous, on ne mange jamais au restaurant.
En France la culture du repas est tellement différente ! La première chose, c’est l’ordre des repas. Ensuite, ici le déjeuner s’accompagne de vin. Puis ici on utilise beaucoup de légumes avec la viande et je trouve que c’est meilleur.

MAKKA



KAÏS

Dans chaque pays, il y a différents plats. La nourriture ukrainienne est très différente de la nourriture en France. Par exemple : le vin ukrainien est plus sucré que le vin français, le pain en France est plus léger que le pain en Ukraine…
Nous avons un plat traditionnel, c’est le bortsch : une soupe rouge qui se prépare avec des légumes (betteraves, pommes de terre, carottes, choux, oignons etc.) et de la viande. C’est très bon et ça on ne le trouve pas en France !

ALLA

En Italie, il y a plus de sauces qu’en France. Dans la cuisine française, il y a plus de beurre qu’en Italie. La pâtisserie en France est meilleure qu’en Italie. Le café en Italie est meilleur que le café en France. En France, les entrées des plats sont presque aussi grosses qu’en Italie. Les français mangent plus de fromages qu’en Italie. Quand même, ce sont deux gastronomies très bonnes !
EMANUELE

En Inde, tous les jours nous mangeons du riz avec de la sauce. Les gens ne mangent pas de viande tous les jours.
En Inde, il y a beaucoup de végétarien. Les gens mangent beaucoup d’épices.

ESTHER RANI




Dans tous les pays, il y a des choses différentes et maintenant je veux parler de la nourriture de mon pays.
Le couscous marocain est meilleur que le couscous qu’on trouve en conserve ici en France.
Après le déjeuner, les français mangent toujours un yaourt ou une boisson, dans mon pays ce n’est pas obligé. Et le soir en hiver, les français doivent toujours manger de la soupe, nous on mange plus qu’eux.
Nous, on a plus de trois repas. Au Maroc, il y a quatre repas.
Maintenant que j’habite en France, je mange comme les français parce que c’est mieux. J’ai adopté les habitudes des français parce que c’est plus équilibré.

FATIMA

La nourriture change dans chaque pays.
Comme la nourriture algérienne elle est différente de la nourriture française.
La gastronomie algérienne est plus riche que la gastronomie française.
Par exemple, en Algérie on utilise beaucoup plus de matière grasse qu’en France et on mange plus qu’on ne mange en France.
Les plats français sont moins épicés que les plats algériens.
En France, on a moins de repas qu’en Algérie.
Les habitudes algériennes sont bien mais les habitudes françaises sont mieux. En Algérie on cuisine moins à la vapeur qu’en France.

SOUMIA

A BIENTÔT !
LE GROUPE "FORCE"

vendredi 2 juillet 2010

Visite chez "les Compostiers"



Mercredi 30/06/2010 on a visité le jardin "l'îlot d'Amaranthes" qui se trouve 9 rue Mazagran Lyon 7ème. Le jardin a été créé en 2003 par une artiste. Ce n’est qu’en 2008 que ce jardin a été mis en culture.

Le jardin est géré par les habitants du quartier et est situé sur un lieu où il y avait des immeubles. C’est un jardin collectif et les membres de l’association Brin’d’Guille viennent pour planter des fleurs, des légumes… pour se faire plaisir et manger après ce qu’ils ont récolté.

L’association « Les Compostiers » fait le compostage pour réduire les déchets en ville et les valorise en les réutilisant dans les diverses cultures végétales.

Tous les Mercredis soir à partir de 18h30, les membres de l’association accueillent les gens du quartier et les personnes intéressées par le compost pour échanger, discuter …


Arda



Le jardin « L’îlot d’Amaranthes »

C’est un jardin qui a été construit en 2003.

Son nom rappelle le nom d’une fleur. Nous avons pris en photo cette fleur (ci-dessus) pour vous montrer à quoi cela ressemble.

Ce jardin est ouvert au public qui peut le visiter.

Dans l’association « Les Compostiers », association que l’on a rencontrée pour comprendre ce qu’est le compost, il y a 2 personnes qui travaillent.

Par fois, des personnes de l’association viennent pour les aider à composter.

Il travaille sur trois parcelles :

1- le grand jardin où sont plantées les fleurs, les légumes et où il y a un compost avec la taille des arbres, de l’herbe, etc.

2- Une parcelle où il récupère l’eau de pluie pour arroser les plantes

3- Une troisième parcelle où les habitants du quartier viennent déposer leurs déchets organiques et où l’on réalise le compost.


Hafifa

Le compost : définition

Le compost est le processus de transformation des déchets organiques. Ainsi se crée l’humus, nécessaire au bon développement des plantes. En ajoutant ce compost à la terre on améliore la qualité de la terre et en même temps on réduit les déchets.

Il est très important de respecter et de bien connaitre les étapes par lesquelles il faut passer pour bien réussir le compostage :

1-Connaitre les déchets que l’on peut utiliser (épluchures des fruits et des légumes, filtres de café, sachets de thé, coquilles d’œuf, les fruits et les légumes coupés en morceaux, feuilles, fleurs abimées, herbes et les restes de la cuisine (excepté le viande et le poisson).

2-Trouver un endroit bien aéré

3-Bien mélanger avec des petits morceaux de bois

4-Laisser reposer en surveillant la température 60-70°Celsius

Quand on connait bien ce qu’il faut faire on peut réaliser le compostage.


Eljona

Dans cette association « Les Compostiers » ils récupèrent les déchets des gens. Après ces déchets sont mélangés avec des petits morceaux de bois pour obtenir un élément naturel pour la terre. Quand les compostiers mélangent le bois avec les déchets, il se passe 4 mois avant d’obtenir un nouvel élément. Enfin, ils déplacent cet élément dans un nouveau conteneur et le laisse encore 4 mois pour obtenir au final une terre prête à être utilisée dans les jardins. Pendant cette deuxième étape, les compostiers n’ajoutent pas de bois. Ce sont seulement les organismes vivants qui font le travail de dégradation : cloportes, ver de terre, etc.


Abdelkader


LES PROJETS DE L’ASSOCIATION

LE JARDIN « L’ILOT D’AMARANTHES »

*** AGRANDIR SES JARDINS

*** AGRANDIR SES ESPACES DE COMPOST

*** FAIRE DES RENCONTRES AVEC LES GENS QUI SONT INTERESSES POUR

FAIRE DU COMPOST


Latifa


Lyon, une des villes les plus importantes de France n’a pas de conteneurs pour les déchets organiques. Actuellement une grande part de la population lyonnaise n’a pas le choix de jeter ses déchets organiques dans un conteneur destiné à cette fin. Aujourd’hui, des compagnies privées incinèrent tous les déchets, parmi lesquels se trouvent les déchets organiques. Cette situation, selon les membres de l’Association « Les Compostiers », coûte chère aux citoyens qui paient ce service par le biais de leurs impôts, parce qu’incinérer les déchets organiques avec les autres déchets, consomme plus de ressources et par conséquent augmente considérablement les coûts de destruction.

Face à l’absence des conteneurs de déchets organiques, apparait « les compostiers », une association située dans le quartier de la Guillotière qui invite les habitants à composter leurs déchets organiques. C’est une initiative qui a été bien accueillie par les gens du quartier. Les composteurs, chaque jour sont plus nombreux et leurs déchets sont réutilisés dans les jardins qui permet plus d’espaces verts dans la ville.

Afin de réduire le poids des poubelles, compostez !


Carlos


LES CONSEQUENCES POSITIVES DES JARDINS EN CENTRE VILLE

On appelle les jardins en centre ville des « puits de carbone » parce qu’ils absorbent le CO2 (dioxyde de carbone) et rejettent dans l’air de l’O2 (oxygène). Les jardins en ville permettent une réduction des déchets en ville parce qu’ils permettent le compostage ; donc c’est une bonne contribution à la propreté de la ville.

C’est un point de rencontre : c’est un avantage que les habitants du quartier ont en ville parce que c’est un moment où ils partagent leur loisir, échangent. Les jardins en ville nous sensibilisent à la protection de la nature car cela permet de parler de la dégradation de nos déchets.

Ainsi, ça nous permet de savoir quels sont les moyens écologistes de se débarrasser de ses déchets sans polluer.


Sheba




La visite chez les compostiers était intéressante. Il y avait des tomates et des salades dans le jardin. Les déchets étaient recyclés pour faire du compost, des personnes amènent leurs déchets. On ajoute de la sciure de bois aux déchets pour éviter les odeurs. Les légumes sont donnés aux personnes du quartier qui participent.
Ryma

Visite aux compostiers

On est allés rendre visite aux compostiers dans le cadre du module développement durable. Il s’agit d’un petit jardin où on trouve des plantes, des fleurs, des arbustes et un potager.
Ce jardin est pris en charge par deux jeunes hommes qui ont comme but de réduire les déchets et par conséquent de diminuer la pollution sans oublier de produire du compost qui sert à fertiliser la terre et à la rendre plus riche en minéraux. C’est aussi un lieu de rencontre pour les voisins, ils échangent des idées tout en apportant leurs pelures de fruits et légumes. Ils sèment même parfois des graines de légumes et passent les cueillir après.
Dans les trois dernières années, les compostiers ont débarrassé l’environnement de 3 tonnes de déchets alors c’est vraiment génial pour la nature.

Arbia


Les groupes Horizon et Goéland

jeudi 1 juillet 2010

Plagions Ben avec le groupe INSTRUIRE











Ben est un artiste qui expose au Musée des Arts Contemporains de Lyon jusqu'au 11 juillet. Il laisse sa trace de l'écrit sur des tableaux noirs tel un instituteur qui essaierait de réveiller ses élèves endormis ! L'humour, la provocation, la tristesse font que son art vous fait réagir. Le groupe Instruire a essayé de copier le concept de son art afin d'interroger le lecteur, chaque phrase a sa propre histoire. Le groupe "INSTRUIRE" vous invite à 11h50 la semaine prochaine pour visiter notre « mur » et échanger avec les auteurs !

Le groupe GOELAND en MEA








Mon stage en maison de retraite était très bien, c’était une courte expérience de dix jours. Il y a toujours quelque chose à faire dans une maison de retraite, il faut s’occuper des personnes tous les jours du matin au soir.

Jennifer


J’ai fait une période de stage de deux semaines dans une maison de retraite. J’ai fait une semaine en lingerie : j’ai mis les machines en marche, j’ai plié et rangé le linge des personnes âgées.

La deuxième semaine j’ai travaillé en tant qu’auxiliaire de vie. Je me suis occupée des résidents. Je leur ai fait leur toilette, je les habillais. A midi, je les préparais pour le repas, je les aidais à manger, ensuite ils faisaient la sieste.

Voilà, tout m’a plu et j’espère continuer dans ce métier.



Linda



J’ai réalisé récemment un stage de 15 jours au sein d’une maison de retraite, dans une unité Alzheimer pour 11 personnes âgées.

Mon stage était très enrichissant, j’ai appris plein de choses : il faut respecter la dignité de la personne âgée, toujours la laisser décider. Quand on les soigne, il faut tout verbaliser et se baser sur le regard, le toucher, parler.

C’est la base de la communication avec les personnes âgées, et cette méthode s’appelle « l’humanitude».

Le matin je préparais le petit déjeuner, je les réveillais, je faisais leur lit, je nettoyais leur chambre, je les aidais à faire leur toilette.

A midi, je préparais la table et je servais à manger.

L’après-midi, je préparais le goûter, parfois je leur faisais un gâteau. Après je participais aux animations.

Globalement, le stage s’est très bien passé, j’avais un bon contact avec les résidents et c’était une bonne expérience dans ma vie professionnelle.



Arbia



Mon stage s’est mal passé, malgré tout c’est une expérience qui m’aura permis de réfléchir sérieusement à mon projet professionnel et de commencer à prendre une décision.

Il est vrai que je n’ai pas appris grand-chose du métier de vendeuse mais j’ai quand même vu comment ça se passe et cela ne me correspond pas du tout pour l’instant.

Même si ça a été difficile pour moi, cela m’a aidé à définir mon projet ce qui est positif.



Nawal



Je suis une femme de 44 ans, j’ai fait un stage chez un traiteur et organisateur de mariage.

Mon stage s’est bien passé, j’ai eu une petite expérience en cuisine professionnelle, organisation de mariages, rangement de salle de cérémonie, comment faire de gros achats pour la cuisine.



Rachida