Je m'appelle Aurélien, ne me cherchez pas, je suis invisible... sur mon fenwick. J'ai fait plein de choses intéressantes. Il y avait une très bonne équipe et j'ai bien aimé. J'ai passé deux semaines dans l'entreprise.
vendredi 30 juillet 2010
Retour de stage du groupe INSTRUIRE
Je m'appelle Aurélien, ne me cherchez pas, je suis invisible... sur mon fenwick. J'ai fait plein de choses intéressantes. Il y avait une très bonne équipe et j'ai bien aimé. J'ai passé deux semaines dans l'entreprise.
vendredi 16 juillet 2010
La formation se termine pour le groupe GOELAND
Fatima
J'envisage dans les mois à venir de continuer à faire mes démarches professionnelles et de continuer dans cette voie-là.
Jennifer
Je suis prête à faire un CAP de vendeuse et à découvrir le monde du travail !
Alexia
Je suis préparée à affronter le monde du travail.
Rachida
Après la formation, je pense que je vais chercher du travail comme Employée de libre service, c'est le métier que j'ai choisi et que j'ai fait dans la formation, ça m'a plu.
Assia
Rencontre avec une auxiliaire de vie
L’Expérience D’ENISA
Elle travaille comme aide auxiliaire de vie dans une maison de retraite. Elle a dix patients à sa charge. Elle s’occupe de personnes âgées : elle leur fait la toilette, elle leur donne à manger, les sort pour changer d’air. Elle fait les lits. Elle travaille deux jours puis a deux jours de repos. Elle travaille dix heures par jour. Au début elle a fait des heures supplémentaires. Elle aime bien son travail. Au début de sa formation a cote projets, elle voulait travailler avec les enfants mais après son premier stage dans le secteur de la petite enfance elle a changé son opinion. Elle a fait son deuxième stage dans une maison de retraite comme auxiliaire de vie. La première semaine, elle a trouve des difficultés avec ce métier parce qu’elle ne connaissait pas grand-chose mais après elle est devenue autonome. Maintenant, elle est plus à l’aise pour parler avec les Français, elle a beaucoup d’expérience, elle s’est bien en France.
Afef du groupe Horizon
LE MARDI 29 JUIN 2010, nous avons rencontré une ancienne stagiaire de Côté Projets. Elle s’appelle ENISA. Nous lui avons posé des questions sur son expérience et elle nous a expliqué ses démarches ou plutôt son « parcours du combattant » pour trouver du travail. Elle a commencé comme nous tous : elle est entrée dans une formation à Côté Projets pour progresses en français. Aussi, elle a eu l’occasion de faire 2 stages différents pour découvrir des métiers .Au début de la formation le projet professionnel d’Enisa était de travailler avec les enfants c’est pour ça qu’elle a effectué son premier stage dans une école. Malheureusement ce n’est pas ce qu’elle souhaitait pour cela elle a changé d’orientation et a effectué son deuxième stage comme auxiliaire de vie dans une maison de retraite. Pendant les deux semaines de stage elle a montré qu’elle était capable de faire ce métier. A la fin de son stage la direction de la maison de retraite lui a proposé un CDD. ENISA a accepté sans souci. Ce travail lui plaît bien. Quelques mois plus tard, ils lui ont proposé un CDI.
Hana du groupe Horizon
Enisa est une auxiliaire de vie,j'ai compris que son travail était difficile, elle m'a apporté beaucoup de conseils sur son métier parce qu'il y avait des choses que je ne savais pas. Elle a répondu à toutes nos questions. Elle a appris le français
et c'était un peu difficile pour elle avant d'entrer dans la vie professionnelle.
Jennifer du groupe Goéland
Enisa nous a parlé de son métier d'auxiliaire de vie. Avant, elle était stagiaire à Côté Projets. Nous lui avons posé des questions sur son métier, c'était très intéressant pour nous tous.
Linda du groupe Goéland
Enisa est une auxiliaire de vie de 27 ans qui avait suivi une formation à Côté Projets. Elle a fait plusieurs stages et effectué des démarches pour trouver un emploi mais ça n'a rien donné jusqu'au jour où elle a insisté auprès d'une résidence pour déposer sa candidature. Elle est à présent contentecar elle a trouvé un emploi qu'elle aime.
Nawal du groupe Goéland
lundi 5 juillet 2010
VIVRE EN FRANCE, MANGER EN FRANCE, NOSTALGIE...
Je trouve que la cuisine française est moins légère que la cuisine de mon pays.
Dans mon pays, il y a beaucoup de soupes différentes et beaucoup plus de sauces qu’en France.
En France, il y a l’apéritif, l’entrée, le plat principal, le fromage et le dessert. Dans mon pays, il y a juste un plat principal.
La soupe de mon pays est plus épicée que la soupe française.
En France, il y a moins de repas que dans mon pays. Dans mon pays, on mange le petit déjeuner moins tôt qu’en France mais on mange le dîner plus tôt qu’en France.
A mon avis, le dîner de mon pays est plus lourd que le dîner typiquement français.
Je trouve que les herbes et épices de mon pays sont meilleurs que ceux de la France.
On ne mange pas de fromages dans mon pays mais les Français mangent tout le temps du fromage.
En France il y a plus de vins que dans mon pays et le vin français est meilleur.
La cuisine de mon pays est plus épicée que la cuisine française et plus copieuse.
Dans les plats français, il y a moins de sauce que dans les plats algériens.
La pâtisserie algérienne est plus sucrée que la pâtisserie française. Mais la pâtisserie française est meilleure.
Chez moi, je cuisine des repas traditionnels et moins de repas français.
Je trouve que les français mangent tout le temps au restaurant : en Algérie on mange moins au restaurant qu’en France.
Les plats français sont bons mais les plats algériens sont meilleurs. Enfin moi, j’aime les deux !
Les français prennent leur déjeuner plus tard que nous. Au Cambodge, on mange à 11 h ou 11 h 30 alors que les français mangent à 12 h 30 ou 13 h 00.
Nous, on mange tout ensemble : il n’y a pas une entrée puis un plat principal. En général, on mange tout ensemble : le riz, les légumes sautés, la viande cuite et la soupe.
Les français aiment la viande saignante alors que les arméniens aiment la viande bien cuite.
Et chose importante : on boit beaucoup plus de vin en France qu’en Arménie !
Autrefois, mon peuple habitait dans les montagnes et c’est pour ça qu’ils mangeaient beaucoup de viande.
Et maintenant, nous suivons cette tradition. On ajoute beaucoup d’ail dans nos sauces.
Notre meilleur plat, ce sont les galettes au fromage ou avec de la courge. Et quand on commence à manger, on met tous ces plats sur la table et chacun choisit ce qu’il veut manger.
Chaque fois, on finit notre repas avec du thé, il doit être bien chaud.
On mange beaucoup de fruits aussi et ils sont meilleurs qu’ici. Les meilleurs légumes chez nous sont les pommes de terre, les aubergines, les carottes et les tomates.
Il existe une grande différence entre les habitudes tchéchènes et françaises : nous, on ne mange jamais au restaurant.
En France la culture du repas est tellement différente ! La première chose, c’est l’ordre des repas. Ensuite, ici le déjeuner s’accompagne de vin. Puis ici on utilise beaucoup de légumes avec la viande et je trouve que c’est meilleur.
KAÏS
Dans chaque pays, il y a différents plats. La nourriture ukrainienne est très différente de la nourriture en France. Par exemple : le vin ukrainien est plus sucré que le vin français, le pain en France est plus léger que le pain en Ukraine…
Nous avons un plat traditionnel, c’est le bortsch : une soupe rouge qui se prépare avec des légumes (betteraves, pommes de terre, carottes, choux, oignons etc.) et de la viande. C’est très bon et ça on ne le trouve pas en France !
ALLA
En Italie, il y a plus de sauces qu’en France. Dans la cuisine française, il y a plus de beurre qu’en Italie. La pâtisserie en France est meilleure qu’en Italie. Le café en Italie est meilleur que le café en France. En France, les entrées des plats sont presque aussi grosses qu’en Italie. Les français mangent plus de fromages qu’en Italie. Quand même, ce sont deux gastronomies très bonnes !
EMANUELE
En Inde, il y a beaucoup de végétarien. Les gens mangent beaucoup d’épices.
ESTHER RANI
Dans tous les pays, il y a des choses différentes et maintenant je veux parler de la nourriture de mon pays.
Le couscous marocain est meilleur que le couscous qu’on trouve en conserve ici en France.
Après le déjeuner, les français mangent toujours un yaourt ou une boisson, dans mon pays ce n’est pas obligé. Et le soir en hiver, les français doivent toujours manger de la soupe, nous on mange plus qu’eux.
Nous, on a plus de trois repas. Au Maroc, il y a quatre repas.
Maintenant que j’habite en France, je mange comme les français parce que c’est mieux. J’ai adopté les habitudes des français parce que c’est plus équilibré.
FATIMA
La nourriture change dans chaque pays.
Comme la nourriture algérienne elle est différente de la nourriture française.
La gastronomie algérienne est plus riche que la gastronomie française.
Par exemple, en Algérie on utilise beaucoup plus de matière grasse qu’en France et on mange plus qu’on ne mange en France.
Les plats français sont moins épicés que les plats algériens.
En France, on a moins de repas qu’en Algérie.
Les habitudes algériennes sont bien mais les habitudes françaises sont mieux. En Algérie on cuisine moins à la vapeur qu’en France.
SOUMIA
vendredi 2 juillet 2010
Visite chez "les Compostiers"
Mercredi 30/06/2010 on a visité le jardin "l'îlot d'Amaranthes"
Le jardin est géré par les habitants du quartier et est situé sur un lieu où il y avait des immeubles. C’est un jardin collectif et les membres de l’association Brin’d’Guille viennent pour planter des fleurs, des légumes… pour se faire plaisir et manger après ce qu’ils ont récolté.
L’association « Les Compostiers » fait le compostage pour réduire les déchets en ville et les valorise en les réutilisant dans les diverses cultures végétales.
Tous les Mercredis soir à partir de 18h30, les membres de l’association accueillent les gens du quartier et les personnes intéressées par le compost pour échanger, discuter …
Arda
Le jardin « L’îlot d’Amaranthes »
C’est un jardin qui a été construit en 2003.
Son nom rappelle le nom d’une fleur. Nous avons pris en photo cette fleur (ci-dessus) pour vous montrer à quoi cela ressemble.
Ce jardin est ouvert au public qui peut le visiter.
Dans l’association « Les Compostiers », association que l’on a rencontrée pour comprendre ce qu’est le compost, il y a 2 personnes qui travaillent.
Par fois, des personnes de l’association viennent pour les aider à composter.
Il travaille sur trois parcelles :
1- le grand jardin où sont plantées les fleurs, les légumes et où il y a un compost avec la taille des arbres, de l’herbe, etc.
2- Une parcelle où il récupère l’eau de pluie pour arroser les plantes
3- Une troisième parcelle où les habitants du quartier viennent déposer leurs déchets organiques et où l’on réalise le compost.
Hafifa
Le compost : définition
Le compost est le processus de transformation des déchets organiques. Ainsi se crée l’humus, nécessaire au bon développement des plantes. En ajoutant ce compost à la terre on améliore la qualité de la terre et en même temps on réduit les déchets.
Il est très important de respecter et de bien connaitre les étapes par lesquelles il faut passer pour bien réussir le compostage :
1-Connaitre les déchets que l’on peut utiliser (épluchures des fruits et des légumes, filtres de café, sachets de thé, coquilles d’œuf, les fruits et les légumes coupés en morceaux, feuilles, fleurs abimées, herbes et les restes de la cuisine (excepté le viande et le poisson).
2-Trouver un endroit bien aéré
3-Bien mélanger avec des petits morceaux de bois
4-Laisser reposer en surveillant la température 60-70°Celsius
Quand on connait bien ce qu’il faut faire on peut réaliser le compostage.
Eljona
Dans cette association « Les Compostiers » ils récupèrent les déchets des gens. Après ces déchets sont mélangés avec des petits morceaux de bois pour obtenir un élément naturel pour la terre. Quand les compostiers mélangent le bois avec les déchets, il se passe 4 mois avant d’obtenir un nouvel élément. Enfin, ils déplacent cet élément dans un nouveau conteneur et le laisse encore 4 mois pour obtenir au final une terre prête à être utilisée dans les jardins. Pendant cette deuxième étape, les compostiers n’ajoutent pas de bois. Ce sont seulement les organismes vivants qui font le travail de dégradation : cloportes, ver de terre, etc.
Abdelkader
LES PROJETS DE L’ASSOCIATION
LE JARDIN « L’ILOT D’AMARANTHES »
*** AGRANDIR SES JARDINS
*** AGRANDIR SES ESPACES DE COMPOST
*** FAIRE DES RENCONTRES AVEC LES GENS QUI SONT INTERESSES POUR
FAIRE DU COMPOST
Latifa
Lyon, une des villes les plus importantes de France n’a pas de conteneurs pour les déchets organiques. Actuellement une grande part de la population lyonnaise n’a pas le choix de jeter ses déchets organiques dans un conteneur destiné à cette fin. Aujourd’hui, des compagnies privées incinèrent tous les déchets, parmi lesquels se trouvent les déchets organiques. Cette situation, selon les membres de l’Association « Les Compostiers », coûte chère aux citoyens qui paient ce service par le biais de leurs impôts, parce qu’incinérer les déchets organiques avec les autres déchets, consomme plus de ressources et par conséquent augmente considérablement les coûts de destruction.
Face à l’absence des conteneurs de déchets organiques, apparait « les compostiers », une association située dans le quartier de la Guillotière qui invite les habitants à composter leurs déchets organiques. C’est une initiative qui a été bien accueillie par les gens du quartier. Les composteurs, chaque jour sont plus nombreux et leurs déchets sont réutilisés dans les jardins qui permet plus d’espaces verts dans la ville.
Afin de réduire le poids des poubelles, compostez !
Carlos
LES CONSEQUENCES POSITIVES DES JARDINS EN CENTRE VILLE
On appelle les jardins en centre ville des « puits de carbone » parce qu’ils absorbent le CO2 (dioxyde de carbone) et rejettent dans l’air de l’O2 (oxygène). Les jardins en ville permettent une réduction des déchets en ville parce qu’ils permettent le compostage ; donc c’est une bonne contribution à la propreté de la ville.
C’est un point de rencontre : c’est un avantage que les habitants du quartier ont en ville parce que c’est un moment où ils partagent leur loisir, échangent. Les jardins en ville nous sensibilisent à la protection de la nature car cela permet de parler de la dégradation de nos déchets.
Ainsi, ça nous permet de savoir quels sont les moyens écologistes de se débarrasser de ses déchets sans polluer.
Sheba
La visite chez les compostiers était intéressante. Il y avait des tomates et des salades dans le jardin. Les déchets étaient recyclés pour faire du compost, des personnes amènent leurs déchets. On ajoute de la sciure de bois aux déchets pour éviter les odeurs. Les légumes sont donnés aux personnes du quartier qui participent.
Ryma
Visite aux compostiers
On est allés rendre visite aux compostiers dans le cadre du module développement durable. Il s’agit d’un petit jardin où on trouve des plantes, des fleurs, des arbustes et un potager.
Ce jardin est pris en charge par deux jeunes hommes qui ont comme but de réduire les déchets et par conséquent de diminuer la pollution sans oublier de produire du compost qui sert à fertiliser la terre et à la rendre plus riche en minéraux. C’est aussi un lieu de rencontre pour les voisins, ils échangent des idées tout en apportant leurs pelures de fruits et légumes. Ils sèment même parfois des graines de légumes et passent les cueillir après.
Dans les trois dernières années, les compostiers ont débarrassé l’environnement de 3 tonnes de déchets alors c’est vraiment génial pour la nature.
Arbia
Les groupes Horizon et Goéland